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 Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord

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Enrique J. Toledo

 Enrique J. Toledo
Tapette à mangemorts


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Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord Vide
MessageSujet: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 11:43


Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord 25u4kzo
Présentation de Enrique J. Toledo


      Nom : Toledo

      Prénom(s) : Enrique Javier

      Surnom(s) : Aucun à sa connaissance, parfois il se fait appeler Eric X. Toledo

      Date de Naissance : 1er mars 1562, il a 436 ans et ouais !

      Lieu de naissance : Madrid, Espagne pour les incultes


Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord 9gftx5 Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord Zt6jyc
Informations essentielles.


      Liens de parenté divers : Don Josepe F. Toledo et Maria A. Toledo

      Descendance : Il a eu un fils, et des petits enfants, et des arrières petits enfants mais alors savoir ou ils sont, bonne question.

      Histoire :

      Contexte de la naissance du personnage (Etat d'esprit des parents, ambiance familiale...) :

      Pourquoi toujours demander un contexte ? Un homme et une femme qui s’aiment, en plein milieu de la Renaissance, au sein d’un pays qui commence tout doucement au cours de ce siècle son apogée. Un homme et une femme qui bientôt vont avoir un enfant. Et oui, en ces temps-là, les préservatifs et autres moyens de contraception n’existaient pas. Un couple qui ne faisait certes pas parti de la noblesse de ce temps, de la cour du Roi, mais qui n’était pour autant, pas de petits sous-fifres de bas étages, possédant quelques titres, et quelques terres. On appelait cela un Don, un marquis si l’on préférait, la femme étant une sorcière espagnol qui avait préféré la vie avec un moldu plutôt que dans son monde. Ainsi naquit, le 1er mars de l’année de grâce 1562, un joli petit bébé, après des heures de souffrance de la mère – et ouais, pas de morphine, d’inspecteur Derrick encore à ce moment-là – une naissance le jour du début des guerres de religion en France. Un signe ? Aller savoir. Toujours est-il qu’il était là, criant déjà de tous ses poumons, souhaitant savoir qu’il était vivant. Ou juste parce qu’il avait envie de crier.

      Enfance :

      Ah l’enfance, souvent l’on dit que c’est l’une des périodes les plus périlleuses pour un jeune homme. Ce fut notamment le cas pour notre ami. Après tout, à cet âge là, on est du genre à se balader partout, curieux de nature, et il n’était pas étranger à ce fait. Il voulait tout voir, tout faire, hélas, il était encore qu’un petit garçon et surtout à ces débuts, qu’un bébé tout simplement. Les années s’écoulaient souvent de la même manière au sein de leur domaine. Le percepteur était arrivé à partir du moment ou il était capable de parler et d’écrire correctement.

      Les leçons commencèrent. Les leçons de maintien, d’orthographe, de grammaire, vocabulaire, de langue également, car il était logique pour un fils de Don de savoir parler couramment une autre langue au cas ou un invité étranger viendrait frapper à la porte. Mais aussi les cours de sa mère, sur la magie, l’histoire de la magie. C’était monotone la plupart du temps, et il aimait souvent flâner en dehors de ces cours. La plupart du temps pour observer son père diriger ses terres, les rendre florescences, mais également simplement pour l’observer. Ce qui l’intéressait le plus, était notamment les entraînements à l’épée, le duel à l’arme qu’il voyait entre les membres du domaine pour s’entrainer. Mais on le narguait, en lui disant qu’il était encore bien trop jeune pour tout ceci.

      L’adolescence :

      L’adolescence, la période la plus trouble de sa vie. Tout du moins l’une des périodes les plus troubles. Et pourtant tout commença pour le mieux, les années se suivaient et se ressemblaient, et pourtant un bon jour, son père, lui dit qu’il était prêt. Prêt à apprendre à se battre, à manier une épée. Vous imaginez la réaction de ce jeune adolescent ? Presque euphorique mais tout en retenue cependant, car son père fut très clair. En tout cas, il ne rata pas cette occasion. Même s’il dut s’appliquer dans les cours de son précepteur, cela en valait la peine, rien que par le fait de pouvoir manier une lame aussi tranchante, exécuter cette danse mortelle, bien que les premières fois, cela ressemblait plus à du méli-mélo qu’autre chose. Mais l’expérience et la technique viennent avec le temps comme on le lui répétait.

      Ajoutons à cela que sa mère, continuant les leçons, l’amenant dans le monde magique, pour la première fois, de l’émerveillement dans les yeux, et sa baguette, sa première baguette, sa seule même, un sentiment de bien-être, se sentir complet au moins une fois. Il n’avait encore jamais connu cela à vrai dire. Les cours à cet instant précis devinrent plus pratiques que théoriques, et il n’était pas rare de voir voler au travers de la pièce des meubles, il allait falloir apprendre à doser les sortilèges.

      Malheureusement tout n’était pas si rose. On avait entendu parler de ce qui ravageait les terres avoisinantes, le bétail tué, égorgé, éventré, des familles meurtries par la mort d’un proche, retrouvé mort, dans son sang, la gorge quasiment tranché, des spectacles horribles selon certains. Une nuit, alors qu’il était de nouveau sorti sans l’autorisation parentale, simplement pour flâner dans les environs, une ombre s’avança dans le domaine. Un grognement, un sursaut de la part d’Enrique. Et soudain, il lui fit face, face à quelque chose dont il n’avait aucune connaissance précise. Mais il n’avait rien sur lui, rien pour se défendre, pas même sa baguette resté dans sa chambre. La peur l’envahissait. La bête pouvait sentir cette bête.

      Il se mit à courir, espérant rejoindre son chez soi avant que cette chose ne l’attrape, mais il n’était encore qu’un adolescent, dont le corps, certes déjà bien développé pour son âge, ne pouvait rivaliser avec la bête derrière lui. Il se fit happer la jambe, tombant sur le sol, l’adrénaline était toujours là, et même s’il souhaita, voulut faire quelque chose, la bête était déjà sur lui, l’odeur putride juste derrière lui, un reniflement avant une morsure intense, douloureuse dans son cou, il hurla, presque à la mort, l’animal ne voulut pas le lâcher. Ce bruit réveilla tout le monde, les hommes sortirent, armés, et firent feu sur la bête. Celle-ci touchée, se dégagea du garçon, comme s’il n’était qu’une poupée de chiffon avant de tenter de s’enfuir, mais les balles de plomb, et les épées des hommes de son père eurent raison de la bête qui tomba morte. Un loup-garou, d’après sa mère, voilà ce qui l’avait mordu.

      Le lendemain, quand il se réveilla, la douleur était toujours présente, il ne restait certes plus qu’une cicatrice, autour de sa cou, blanche, mais la douleur était toujours là, comme si tout en lui le brûlait. Sa mère pleurait à son chevet, son père le regardait avec tristesse et pitié et c’est là, qu’il sut la vérité. Un loup-garou, une de ces bêtes sauvages, voilà ce qu’il était devenu désormais, un monstre sans foi ni loi durant les nuits de pleine lune. Choqué, terrassé par les nouvelles, il en perdit sur le moment la parole, paniqué, écœuré de lui-même et de ce qu’il était devenu. Une transformation de ces gènes, une mutation, rien de magique, mais cela il l’apprendrait bien plus tard.

      Le plus dur en fin de compte avec cet état, c’était les nuits de pleine lune. On ne pouvait pas dire que cela se passait comme dans un conte de fée. Après tout devenir une bête enragée, cela avait entrainé des conséquences. Se faire attacher les pieds, les mains et le coup par des fers à même le sol pour éviter qu’il ne tue des innocents, le regard de son père, attristé de cela, et la douleur. Quand la lune se levait, la douleur de sentir ses membres se transformer, de se métamorphoser dans cette créature, les hurlements à la lune, la rage du loup qui souhaitait sortir de ces gonds pour tuer, l’envie de sang encore et toujours avant que la bête ne se calme le jour venu. Entrainant également une faiblesse de son propre corps, des marques sur les pieds, mains et le cou, signe de la lutte du loup. Ce fut la première la plus dure, la première expérimentation, difficile de dire qu’il se remit de cette expérience, d’autant plus que cela recommença à chaque pleine lune. Il essaya d’oublier au travers de ces différents entrainements magiques ou non. Au moins il pouvait toujours manier la baguette, et il y avait quelques bonnes choses. Un corps mieux sculpté, plus fort, la force du loup.

      Mais avoir une vie normale désormais, ce n’était plus ce qu’il y avait de possible, l’innocence était passée avec cette marque qui resterait à jamais gravé en lui.

      La vie d’adulte :

      Arrivé à l’âge adulte, difficile de dire qu’il pouvait faire quelque chose de sa vie. S’engager dans l’armée du Roi, cela lui était impossible de part sa condition, un rêve qui se brisait en fin de compte. Même le côté sentimentale fut légèrement mis de côté, après tout qui voudrait d’une bête comme lui ? Il ne fit que reprendre en quelque sorte le flambeau familial, bien que son père soit toujours là, il faisait l’intendance du domaine, tout en veillant à ce que chaque pleine lune, il ne blesse personne.

      Pourtant un rayon de soleil vint éclaircir sa vie, à l’aube de ses vingt ans, une jeune femme, Anna-Lisa, une rencontre qu’on espérait que peu, un brin de fraicheur dans son monde de ténèbres. Un coup de foudre peut-être va savoir ? Mais il ne pouvait pas, et pourtant, elle fit sauter chacune de ses barrières, les unes après les autres, le faisant sentir plus humain. Ce fut elle qui le sauva en quelque sorte, qui l’aida à s’accepter tel qu’il était. Oh il avait toujours cette malédiction, mais désormais, on vivait mieux avec en quelque sorte. Ils se marièrent deux ans plus tard, à ses vingt deux ans. Elle savait. Elle savait ce qu’il était, elle savait aussi dans quoi elle s’engageait, mais elle n’avait pas peur, elle était heureuse.

      Leurs vies se déroulèrent au domaine de son père, les journées passant et se ressemblant en fin de compte, et les nuits de pleine lune, c’était elle qui venait l’enchainer, l’observant non pas avec pitié ou tristesse mais avec amour. Peut-être que c’était cet amour qui le sauverait ? Cet amour pour elle et pour l’enfant qu’ils eurent trois ans plus tard. Un garçon, un garçon qui n’avait pas sa malédiction. Il pouvait avoir une vie presque normale, le soleil revenait balayer les ténèbres qui avaient existé depuis sa transformation.

      Durant les cinq ans qui suivirent, il put voir grandir son fils, commencer à lui apprendre la vie, les leçons de la vie, aimer, chérir ce qui lui était le plus cher, mais les ténèbres étaient toujours là et elles le rattrapèrent un soir de pleine lune. Alors que sa femme venait juste de l’enchainer pour une nouvelle nuit sous la forme la plus immonde qu’il connaissait, il sentit dans l’air quelque chose, la mort elle-même. Ou presque. Il essaya de se débattre, sa femme le comprenant pas ce qui se passait. Jusqu’à ce que la chose soit là, derrière elle. Une chose visiblement blessée, sérieusement, une chose avec des crocs. Non pas un loup-garou comme lui, il ne sentait pas son cœur battre, un vampire. Vampire qui mordit à pleins crocs dans la nuque de sa femme, la délestant de tout son sang sans qu’elle puisse faire quoique ce soit. Fou de rage, il se débattit, mais rien n’y faisait, et le vampire n’avait pas l’air d’avoir étanché sa soif quand il laissa tomber sa femme au sol, comme un pantin. D’ailleurs, il se délectait déjà d’avoir une nouvelle victime, attachée, beaucoup plus facile pour lui.

      La pleine lune allait se lever mais le vampire était sur lui, une morsure, dans son cou, au niveau de la cicatrice laissait par le loup, un cri, avant qu’un hurlement ne se fasse. Le loup se réveillait, la pleine lune était levée, le vampire essaya bien de maintenir la bête au sol, mais la force du loup, sa rage, sa soif de sang, le tout mélangé aux sentiments humains avec la perte de sa femme, le rendit plus enragé que jamais. Les chaines explosèrent, il arracha les goûts, la bête était de nouveau libre. Bête qui n’attendit pas avant d’envoyer valser le vampire et de se relever, prête à mordre. Vampire contre loup-garou. Une bataille s’engagea, des morsures, des griffures, le loup réussit même à mordre sérieusement le vampire au moins de boire son sang. Le vampire avait mal choisi sa cible pour l’occasion, vampire qui ne put faire d’avantage avant que quelqu’un ne vienne mettre un terme à l’existence de son corps. Un homme. Le loup pouvait le sentir. Malheureusement, le mélange entre du sang de vampire et la mutation causée par la morsure du loup provoqua des changements auquel on ne s’y attendait pas du tout. Dans un hurlement de rage, le loup disparaissait pour laisser de nouveau Enrique, Enrique qui tomba au sol, son cœur n’ayant plus l’air de battre. Tout son corps était entrain de changer, mais cela il n’en avait encore aucune idée.

      Ce ne fut que trois jours plus tard qu’il se réveilla, dans un lieu qu’il ne connaissait pas. Une chambre, inconnue, il ne savait pas ou il était, et il se sentait faible, terriblement faible en fin de compte. L’homme de son rêve pénétra dans la pièce, qui était-il ? Mais il n’eut pas le temps d’avoir de réponse qu’on lui ordonna de boire la cruche entière. Par méfiance il essaya de distinguer ce que c’était, le reniflant même, avant de sentir le sang, et il en avait envie. Une part de lui voulait boire, pas l’autre et pourtant il le fit. Il perdit ce côté faible, se retrouvant normal en quelque sorte, plus cette impression de faiblesse, mais il était différent, il le sentait.

      L’homme lui expliqua qu’un vampire lui avait attaqué, finalement, il était pourchassé par la malchance on dirait. Et qu’il était une chose encore jamais, un mélange entre le loup et le vampire. Cela n’aida pas vraiment à savoir ce qu’il était vous me direz. Une aberration peut-être ? Va savoir. On lui expliqua que sa femme était morte, la tristesse l’envahit et l’envie de tout détruire également, ils avaient envoyé son fils ailleurs, lui faisant oublier ses propres parents, le confiant à d’autres. C’était certainement la meilleure des solutions. Mais maintenant ? Qu’allait-il devenir ?

      L’homme lui proposa de rester avec eux, par pitié ? Non, car il voyait autre chose en lui, il le voyait tel qu’il était, quelqu’un ayant des capacités. Il pouvait servir, il pouvait avoir une vie « normale ». Cet homme lui offrait sans qu’on le pointe du doigt ou qu’on le dénigre. Il lui offrait une place chez lui en quelque sorte. Avait-il un autre choix que d’accepter ? Pas vraiment. Au moins il n’était pas à la rue, et traquée comme une bête sauvage.

      Il comprit quelques jours plus tard ou il se trouvait, au sein d’une organisation dont les rumeurs étaient grandes la concernant, mais il ne pensait pas la connaître, La Confrérie des Assassins. Il allait en devenir un, mais pas avant quelques années, il fallait qu’il soit sevrer au niveau de sa soif de sang. Car oui, il ne pouvait se passer de sang, surtout les trois premières années de sa nouvelle vie, toujours boire, boire toujours plus. Chaque sortie en dehors de sa chambre était un calvaire, chaque jugulaire dans laquelle il souhaitait mordre, fort heureusement que cette organisation était prévoyante et que les cruches de sang étaient abondantes, comme s’ils s’étaient doutés qu’il resterait avec eux. Mais ce ne fut pas aisé tous les jours, surtout quand cela le rendait si faible qu’il ne pouvait se trainer en dehors du lit pour en boire quelques gouttes, on devait l’y aider. L’autre mauvaise surprise était le fait que sa transformation en demi-vampire lui fit perdre le don de faire de la magie. Un don hérité de sa mère, il l’avait perdu, sa baguette trainait toujours là, mais ce n’était que du bois et un jour, il la cassa en deux, mettant derrière lui, sa vie d’antan.

      Ces trois années furent un calvaire, mais cela toucha à sa fin. Il était temps pour lui de commencer. Sa formation commença, et même s’il ne pouvait plus manier la baguette, niveau armes blanches, il s’y connaissait, d’ailleurs, il n’y avait qu’avec celles-là qu’il se sentait en confiance, il n’était capable que de manier cela, un excellent duelliste à l’arme blanche, mais rien d’autre. Bien sur le mélange entre sa mutation vampirique et le gène du loup-garou changea également ses capacités physiques. Plus fort, plus rapide, il cicatrisait notamment plus rapidement, presque instantanément pour les petites blessures, mais il restait vulnérable si on lui lançait un Avada Kedavra. On ne pouvait pas avoir tous les avantages et aucun inconvénient n’est-ce pas ? Il n’était pas vraiment vivant au vu de ses capacités vampiriques, mais pas vraiment mort, ses organes continuaient de fonctionner après tout mais ils ne se dégénéraient pas. Au fil de sa formation, il perçut également la capacité d’influer sur d’autres êtres, de façon très légère au premier abord.

      Ce ne fut qu’une fois sa formation terminée et les premiers contrats remplis, qu’il se sentit enfin revivre. Il essaya bien de revoir sa famille, enfin son fils, mais ce n’était plus sa vie désormais, il n’existait plus pour eux. Mais au moins quelque chose de lui survivait. Ce fut la dernière fois qu’il vit quelqu’un de sa famille. Désormais il en avait une nouvelle. Sa vie, les années, les siècles passèrent, au cours desquels, il continua à exercer l’assassinat, grimpant les échelons mais restant un solitaire, après tout, il n’était pas le commun des mortels n’est-ce pas ? Son don ou plutôt sa capacité à influencer les gens augmenta avec l’expérience et les années. Bien que certains formaient à des formes de magie qu’il ne connaissait pas lui résistait sans peine, mais il avait la force brute pour contrer.

      Le monde continua de tourner, et il fut plus un spectateur de l’évolution de celui-ci qu’un acteur. Ou simplement un acteur dans l’ombre. Il vit dans l’ombre, il est l’ombre désormais, une ombre menaçante. Après avoir été l’anomalie, la bête à traquer, c’était désormais lui qui traquait, et personne ne se mettait jamais entre lui et sa proie au risque de finir dans le même état. D’ailleurs il fut étonné qu’une de ses missions se tourna vers l'Empire de l'Aigle, l'Allemagne et tout ce qui va avec. Vers un savant fou fabriquant des armes pour le compte de cet Empire. Il fut envoyé là-bas, pour « surveiller ». D’ailleurs il prit le gamin du savant, Michael sous son aile, commençant à le former. Le former à devenir son apprenti, le premier qu’il aurait. Hélas l’intervention des dirigeants du Grand Nord ne lui permirent pas de continuer. La mort de son père puis le fait d’apprendre que lui aussi jouait double jeu, n’aida pas à gagner sa confiance, il se fit même planter une rapière dans le corps. Manque de vigilance. Oh il survécut, les blessures cicatrisèrent vite, mais le temps que cela arrive, Michael était loin, il n’avait pas eu le temps d’expliquer d’avantage. Et il dut se résoudre qu’au final, avoir un apprenti ou quelqu’un de proche même dans son état, était inconcevable. Une ombre parmi les autres, un solitaire qui chassait encore et toujours.

      Votre personnage actuellement (Métier, rattachement à une éventuelle organisation, vie personnelle...):

      1998, le voilà âgé de plus de 400 ans, mais il ne les fait pas. Et il ne ressent pas cette vieillesse, peut-être de temps en temps une lassitude, sachant qu’il ne mourra peut-être jamais, sauf si quelqu’un décide d’y mettre un terme. Il voyage de pays en pays, d’Empire en Empire, traquant ses contrats, se proférant une notoriété dans certains cercles et restant fidèle à La Confrérie et à son Seigneur.

      Apparence Physique :

      Taille, Corpulence: Il avoisine le mètre quatre vingt cinq, quatre vingt dix environ. Assez costaud. Il avait déjà une bonne constitution avant sa transformation en loup-garou, celle-ci lui a permis de développer sa carrure bien qu’il eut quelques faiblesses malgré tout. Il reste malgré tout quelqu’un de costaud, imposant sans que cela fasse bodybuldé en fait.

      Couleur des cheveux, couleur des yeux : Cheveux bruns, yeux bleus/verts

      Particularités physiques (Lunettes, tatouages, piercings...) Des canines légèrement plus pointues que le commun des mortels, logique vous me direz, deux cicatrices, au même endroit, dans son cou. L’une blanche, la signature du loup-garou, l’autre, celle du vampire, deux petites marques signe de l’entrée des canines dans sa peau. Un tatouage en forme de croissant de lune sur le pectoraux gauche.

      Caractère du personnage :

      Qualités : Parce qu’il en faut ? red Consciencieux, rigoureux, réfléchis

      Défauts : Solitaire, violent, méprisant, sarcastique

      Relations avec les autres : Il n’en a pas vraiment ou c’est très rare qu’il se lie à des personnes. Il aime son côté solitaire, il a déjà beaucoup perdu alors s’attacher à nouveau. Il mène une vie dans l’ombre qui lui permet de ne pas vouloir d’attaches, il est du genre à éviter les relations avec les autres, voir à les envoyer bouler.

      Liens pré-définis Aucun

      Vraie nature de votre personnage, qui est-il au fond? Difficile à dire, peu de personnes savent comment il est en dehors de ce qu’il montre, sauf ceux envers qui il a confiance. Ils se comptent sur les doigts de la main, et pour savoir comment il est, à vous de le découvrir.



Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord 9gftx5 Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord Zt6jyc
Informations complémentaires.


      Baguette : Il en avait une, mais depuis sa deuxième transformation, il l’a brisée, ne pouvant plus s’en servir.

      Balai : Vu qu’il ne peut plus faire de magie, il n’utilise pas de balais, sauf pour faire le ménage entre les corps.

      Métier : Assassin - Créatures

      Patronus : Aucun

      Épouvantard : Ca à quel goût ? A tester lucain

      Signe particulier : Mi-Vampire/Mi-Loup-Garou. Il possède la force surhumaine des vampires et leurs capacités à se régénérer. Mais il peut être tuer, par un Avada Kedavra ou si on lui tranche la tête par exemple. Il n’était plus tout à fait vivant de par son cœur qui n’a plus l’air de battre, mais pas tout à fait mort, ses autres organes fonctionnant toujours, sans pour autant se dégénérer. Le soleil n’est pas aussi néfaste pour lui que pour les vampires, mais il ne peut y rester des jours au risque de sentir cette faiblesse revenir.

      Célébrité sur l'avatar : Bradley Cooper



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Montres-toi Moldu !


      Double compte ? A coup sur gnagna

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Richard D. Rahl

 Richard D. Rahl
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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 11:45

Bonjour red

On se connaît non ? lucain

Ta tête me dit quelque chose uh

Tu cherches à shipper avoues chenapan geo boulet
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Enrique J. Toledo

 Enrique J. Toledo
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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 11:51

Tu me valides ou je t'éclate ? uh boulet

Non je suis pas maboul, ou juste un peu red
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Richard D. Rahl

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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 11:52

T'es pressé ? uh boulet

Mais non je floode pas affraid boulet

Aller j'arrête uh
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Dahrah Mills

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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 12:36

xd xd Enriqueeeeee geo
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Enrique J. Toledo

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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord EmptyMer 3 Aoû - 12:36

J'arrive, j'arrive geo
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MessageSujet: Re: Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord   Enrique J. Toledo | La vie est une chieuse qui vous mord Empty

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